Frontier Fighters
Dans l’univers sans foi ni loi du système Pyro, où la criminalité règne et où l’autorité de l’UEE ne s’aventure plus, une faction émerge avec une vision radicale de l’ordre et de la justice : les Frontier Fighters.
Origines
Les Frontier Fighters sont nés dans le système Stanton, au cœur de la tension grandissante entre sécurité corporatiste et anarchie frontalière. Leurs fondateurs, d’anciens citoyens lassés de voir les systèmes voisins sombrer dans le chaos, ont décidé d’agir en dehors du cadre légal. Pour eux, Pyro est une menace directe — un nid de pirates, de trafiquants et de hors-la-loi qu’il faut neutraliser avant qu’il ne déborde sur Stanton.
Philosophie
Leur devise officieuse : « Pas de pitié pour les ennemis de la civilisation. »
Les Frontier Fighters prônent une vision extrême de la sécurité. Là où d’autres voient des opportunités de négociation ou de réhabilitation, eux ne voient que des cibles à éliminer. Leur objectif est simple : purger Pyro de toute forme de criminalité et établir une zone tampon sécurisée entre les systèmes « civilisés » et les régions sans loi.
Méthodes
Contrairement aux groupes comme les Citizens for Prosperity, les Frontier Fighters n’installent pas d’avant-postes, ne cherchent pas à construire ou à établir des colonies. Leur combat est militaire, direct et impitoyable.
Ils mènent des raids armés contre les installations pirates, posent des embuscades aux convois criminels, et n’hésitent pas à éliminer toute personne qu’ils jugent affiliée aux gangs qui règnent sur Pyro.
Relations avec les autres factions
Headhunters : ennemis jurés. Les Frontier Fighters considèrent les Headhunters comme le cœur de la corruption dans Pyro.
Citizens for Prosperity : relation tendue. Bien qu’ils partagent un objectif commun (la pacification de Pyro), les méthodes extrémistes des Fighters sont critiquées par les CFP, qui les voient comme un risque pour la stabilité à long terme.
Critiques et Controverses
Beaucoup les accusent d’être des fanatiques armés plus qu’une véritable force de libération. Le fait qu’ils ne rendent de comptes à aucune autorité officielle les rend dangereux aux yeux de nombreux citoyens. Il leur est reproché de ne faire aucune distinction entre criminels actifs, civils, ou même ex-criminels en quête de rédemption.
Conclusion
Les Frontier Fighters incarnent une réponse brutale mais déterminée au chaos de Pyro. À la frontière de la justice et du vigilantisme, ils forment une faction controversée, dont la présence ne laisse personne indifférent. Dans un système où l’ordre s’effondre, certains voient en eux des héros de l’ombre, d’autres les considèrent comme une menace encore plus grande que celle qu’ils combattent.
Fly Safe
(EV) Fidésien
Election de la photo du mois d’ Avril 2955
Après 3 jours de votes des asgardiens, la photo remportant la première place est…
Interview
Le Maître Chef BreizhAttack
Fidésien : Bonjour Maître Breizh, parlez-moi de votre parcours avant d’entrer dans la Légion. Est-ce que vous saviez déjà que vous porteriez un jour les couleurs de la légion d’ Asgard ?
Breizh :Mon ambition a toujours été de rejoindre un corps armé, je visais l’UEE Navy et la vie a fait que j’ai rencontré des militaires de la légion qui étaient en permission et qui m’ont convaincu de m’engager à la légion.
Fidésien : Qu’est-ce qui différencie, selon vous, un soldat de la Légion d’un autre militaire de l’UEE ?
Breizh :L’ UEE, pour des raisons personnelles que je ne citerai pas ici, je n’ ai pas souhaité aller plus loin avec eux, à contrario les valeurs de la légion correspondaient bien mieux à ma vision et pour ma carrière.
Fidésien : Comment évolue un légionnaire au fil des campagnes ? Que garde-t-on, que perd-on, en montant en grade ?
Breizh :Étant sous officier dans les flottilles je dirai qu’on ne perd pas grand chose en montant en grade, si ce n’est le terrain, un peu comme vous Lieutenant, et on gagne en responsabilité surtout et on fait ce pourquoi on s’est engagé.
Fidésien : Quand vous êtes en permission, loin du feu, qu’est-ce qui vous aide à rester vous-même ?
Breizh :C’est nécessaire dans une marine, nous sommes déployés loin et longtemps et ce temps pour retrouver une vie sociale et souffler est très important. La légion est une famille et on vit bien ensemble, les permissions c’est aussi des moments entre légionnaires pour se retrouver en détente.
Fidésien : Quelle mission vous a le plus marqué dans votre carrière — et pourquoi ?
Breizh :Alors je vais commencer par les entrainements, celui qui m’a beaucoup marqué c’était une sortie survie qui a permis de mieux connaître mes camarades et augmenter notre cohésion. Pour une sortie opérationnelle, celle que je retiens, c’est une mission où je n’arrivais pas à me défaire d’un Arrow et l’ élève sous officier Wolfjo est venu à ma rescousse en l’abattant très rapidement et m’a sauvé la vie.
Fidésien : Si vous deviez dire une seule chose à un jeune qui veut rejoindre la Légion demain, ce serait quoi ?
Breizh :Tout d’abord, avant l’aspect militaire, qu’ est ce qui le stimulerait dans sa vie de tous les jours et ensuite être sur de s’engager au bon endroit.
Fidésien : Merci Maître Breizh pour le temps accordé. Je vous dis à bientôt pour une prochaine interview !
BLOOM
“On l’appelle Bloom… mais y’a jamais rien qui fleurit ici, sauf la mort.”
C’est ce que m’a murmuré un ancien prospecteur, à bord d’un Cutlass criblé d’impacts, alors qu’on approchait de l’orbite de Pyro IV, plus connue sous son surnom : Bloom.
Un nom, une ironie cruelle
Quand les premiers colons pirates ont découvert Bloom, ils ont été frappés par son éclat coloré depuis l’espace : des nuances de bleus, violets et verts sur sa surface, causées par des réactions chimiques dans l’atmosphère et le sol.
Ce jeu de lumière donnait l’illusion d’un monde vivant, fertile… comme une fleur en pleine floraison. Mais c’était un leurre mortel.
En réalité, Bloom est toxique, acide, et instable. L’atmosphère est corrosive, les tempêtes électromagnétiques sont fréquentes, et les sols sont jonchés de poches de gaz explosif. Pourtant, malgré tout cela… des gens y vivent.
Refuge de désespérés et de déchus
Sur Bloom, il n’y a pas de villes. Juste des campements, des laboratoires clandestins, des stations minières désaffectées réutilisées comme refuges. C’est un endroit où l’on va quand on n’a plus rien à perdre.
Les Headhunters y opèrent plusieurs caches. On dit qu’ils y produisent certaines drogues rares, grâce aux propriétés chimiques uniques du sol. Les conditions rendent la surveillance quasi impossible : pas de satellites, pas de scans fiables, et un terrain qui change littéralement sous vos pieds.
“Sur Bloom, même la terre veut te bouffer.” – Locuteur inconnu, transmission pirate captée sur la bande S4-B (non vérifiée).
Un point stratégique dans le chaos
Militairement, Bloom est un cauchemar logistique, mais aussi une clé stratégique. Celui qui contrôle Bloom contrôle plusieurs routes d’accès vers Pyro V et Terminus. Les récentes escarmouches entre les Frontier Fighters et les Headhunters autour du secteur “Glaive Point” montrent à quel point la planète est redevenue un enjeu chaud.
Les Citizens for Prosperity ont tenté d’y installer une antenne relais le mois dernier. Elle a été réduite en cendres en moins de 24 heures. Aucune revendication.
Beauté toxique, mystère persistant
Malgré tout, quelque chose fascine sur Bloom. Sa lumière changeante. Son silence surnaturel. Les pilotes parlent d’hallucinations visuelles. Les scientifiques évoquent des formes de bioluminescence minérale inconnues ailleurs dans le système.
Il se pourrait que Bloom cache encore des secrets géologiques ou biologiques uniques, mais aucun institut n’ose financer une expédition prolongée.
Conclusion
Bloom est une fleur maudite. Un joyau empoisonné.
Et pourtant, elle attire encore les fous, les rebelles, les chercheurs de l’interdit. Dans Pyro, chaque planète est un choix moral. Bloom, elle, est un jugement silencieux.
Informations diverses
Félicitations au 1er Maître Nanexxe qui prend le capitanat de l’AMF Loki.
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