ASAHEIM · 30 avril 2024

NEWSLETTERS MAI 2954

Espèces vivantes et civilisations ! (Partie 2)

Histoire

 

Xi’an ( Phon.  [shee-ahn]) et humains ont partagé des relations tumultueuses au cours des âges. Les Xi’ans ont toujours considéré l’humanité comme aveugle et impétueuse, mais ils n’ignoraient pas non plus sa capacité destructrice et ils ont donc agi avec prudence. Alors que leur technologie peut sembler supérieure à celle des humains, cette impression est simplement due à son caractère étranger. En réalité, les deux civilisations sont relativement équivalentes de ce point de vue et leur aptitude à l’annihilation mutuelle est probablement ce qui a évité toute tentative d’agression dans chaque camp. Au plus fort des tensions opposant l’UEE à l’Empire Xi’an, une ligne de systèmes a fait office de zone no man’s land entre les deux factions. Ces systèmes, Tohil, Oya, Gurzil, Horus, Pallas, Hadur, Indra et Virtus, sont connus sous le nom de Ligne Perry. Avec le traité de paix signé en 2789, la Ligne Perry a été partagée : Tohil, Oya, Gurzil et Horus ont été annexés par l’UEE tandis que les Xi’ans se sont appropriés Pallas, Hadur, Indra et Virtus.

Les relations entre Xi’ans et humains se sont apaisées au fur et à mesure des siècles, mais il serait difficile de les qualifier d’amicales sans une légère pointe de sarcasme. « Sous surveillance » serait une expression plus appropriée : l’humanité espère que les Xi’ans ne se préparent pas à la détruire, mais elle se tient prête pour cette éventualité.

Politique

Fins diplomates, les Xi’an sont patients et raffinés mais ils sont aussi tout à fait aptes à mener une guerre quand la situation l’exige. Pour comprendre leur mentalité, il faut garder à l’esprit qu’un Xi’ans vit pendant des siècles. Pour commencer, donc, le surpeuplement est un sujet de préoccupation pour leur gouvernement, qui souhaite contrôler et en réguler la démographie. Par ailleurs, les individus de cette espèce ont un comportement placide qui peut souvent être interprété comme de la réserve ou de l’apathie, alors que leur longue durée de vie les incite à agir avec des décennies à l’esprit et non de simples années.

Aux yeux des humains, la culture Xi’ans apparaît rigide et amorphe. Les Xi’ans se présentent eux-mêmes comme polis mais neutres, particulièrement envers ceux qu’ils rencontrent pour la première fois. Il s’agit d’un mécanisme social rôdé chez eux : lorsqu’ils approchent une personne, ils la considèrent sans a priori et la laissent s’engager en premier pour voir comment l’interaction peut progresser. Puis, quand ils se sentent à l’aise avec elle, ils abandonnent ce masque de neutralité pour adopter un comportement plus personnel. Avec les humains, le processus est un peu plus long car beaucoup se remémorent encore l’ère Messer. Dans leurs relations avec l’extérieur, et particulièrement en cas de litige, les xi’ans appliquent une logique très chauvine : ils n’ hésiteront pas à privilégier un congénère face à un étranger, à moins qu’il existe une preuve irréfutable qui soit présentée à l’appui de l’allégation ou de l’accusation de ce dernier.

Il n’est pas rare de voir des Xi’an dans l’espace de l’UEE, et on peut même les classer en trois catégories : les dignitaires et hommes d’affaires en visite, les jeunes qui rejettent la culture de leur société et les expatriés. Ces deux dernières catégories estiment sans doute que le mode de vie de leur espèce est trop étouffant et elles ont accueilli les émotions puériles des humains comme une bouffée d’air frais. Certains ont suivi le processus ardu pour devenir citoyens tandis que d’autres jouissent de la vie sans responsabilités civiques des simples civils.

Langue


Le langage Xi’an, ou uo’aXy’an, ou encore Xi’an Romanisé Standard est un langage tonal dont les sons des voyelles et des consonnes seront familiers pour de nombreux humains. Ceux qui ont déjà des connaissances dans d’autres langues tonales auront plus de facilité à maîtriser le uo’aXy’an que les autres. Cependant, tout langage parlé peut être maîtrisé par ceux qui sont prêts à faire des efforts pour apprendre.

Religion

Il n’existe pas de religion officielle chez cette espèce. Il existe des systèmes de croyance très divers et éclatés, mais ils s’attachent plutôt à offrir une ligne de conduite morale ou à promouvoir une sorte de spiritualité universelle plutôt que le culte d’une divinité spécifique. La plus importante est néanmoins la Li’tova dont le centre spirituel se situe dans le système Kayfa sur la planète Tovaroh. C’est aussi la religion de l’empereur.

(Source: https://starcitizen.fandom.com/fr/wiki/Xi%27an )

 

Fly Safe
Élève Officier Fidésien

 

Election de la photo du mois d’ Avril 2954

Après 3 jours de votes des asgardiens, la photo remportant la première place est…

 


Interview 

Second Maître Stitch 

Fidésien : Bonjour Second Maître Stitch, pouvez vous nous dire ce que vous êtes venu chercher à la légion ?

Stitch : J’ai rejoint la Légion par besoin de me sentir utile et c’est la légion qui correspondait à mes attentes.

Fidésien : Comment voyez vous l’avenir d’Asaheim ?

Stitch : Dans le futur Asaheim deviendra à mon sens un empire prospère et florissant. 

Notre développement ne fait que commencer.

Fidésien : Quel est votre parcours en tant que légionnaire ?

Stitch : C’est un parcours classique, j’ai commencé comme Matelot et j’ai passé toutes mes formations.

J’avais des facilités en tant que pilote, j’ai donc intégré naturellement les flottilles, et aujourd’hui je suis sous-officier et leader d’ un IF.

Fidésien : Quelles qualités faut-il pour devenir un bon légionnaire selon vous ?

Stitch : Selon moi, il lui faut l’ écoute et la discipline.

Fidésien : Quelles sont vos ambitions pour l’avenir ?

Stitch : J’ai eu envie de monter les échelons, mais aujourd’hui je pense qu’il faut que je me stabilise au poste où je suis actuellement en me perfectionnant.

 

Fidésien : Merci Second Maître Stitch pour le temps accordé. Je vous dis à bientôt pour une prochaine interview !

RSI

Roberts Space Industries est à l’origine du moteur qui a donné le coup d’envoi de la colonisation spatiale pour l’humanité. Cette corporation fabrique une vaste gamme de vaisseaux destinés à tous types de besoins, du voyage interstellaire jusqu’à l’exploration de zones inconnues dans la périphérie de la galaxie.

Historique

Roberts Space Industries est l’une des plus anciennes entreprises humaines encore en activité, avec une histoire qui remonte aux premiers voyages de l’humanité vers les étoiles.

Constituée au début du 22ème siècle, RSI a développé le premier générateur quantique autonome qui a ouvert la voie à la colonisation de la galaxie. Gouvernements et entreprises ont rapidement adopté cette technologie, et l’expansion qui en a résulté a conduit à l’UEE que nous connaissons.

Cependant, le président Roberts de RSI nourrissait un rêve bien différent : un avenir où les étoiles seraient accessibles pour chacun. En 2140, sa société créa le premier modèle du Zeus, un vaisseau équipé du générateur quantique conçu pour la vente à des particuliers.

Ce sont ces innovations, associées aux technologies découvertes pendant les décennies précédentes, qui ont permis à l’Empire humain de prendre forme. Avec une telle histoire et l’impact qu’elle a pu avoir sur la façon dont la culture humaine a évolué dans l’espace, RSI intéresse autant les historiens et les sociologues que les experts comptables.

Le siège social de la société est situé à New York, sur Terre, et il comprend une vitrine qui contient les derniers modèles de vaisseaux ainsi qu’une salle dans laquelle sont exposés des siècles de conceptions, jusqu’au fameux Zeus. Cette zone d’exposition est ainsi à la fois un espace de vente et un musée, et la tour immense dans laquelle elle se trouve fait maintenant partie du paysage depuis des générations. La tradition veut que ce bâtiment où sont nés les premiers vaisseaux soit l’une des premières choses que l’on visite lorsque l’on fait escale sur Terre.

Les produits destinés au marché civil font la fierté RSI grâce aux efforts de l’entreprise, qui leur doit près de la moitié de son chiffre d’affaires. Contre toute attente, et en dépit de la forte concurrence de constructeurs arrivistes comme Origin ou MISC, l’entreprise continue d’ailleurs de faire croître ses parts de marché. Ces dernières années, aucun d’entre eux n’a réussi à se diversifier au même point. À lui tout seul, le Constellation tient la dragée haute aux Freelancer et Starfarer réunis, tandis que l’Aurora reste une solution viable face aux monoplaces produites par Origin. Ses vaisseaux lourds restent quant à eux inégalés.

En revanche, concernant les contrats militaires, la réalité est beaucoup moins reluisante, Bien que RSI ait servi comme prestataire principal pour la production du Bengal ainsi que d’autres vaisseaux lourds, il est de notoriété publique que cette entreprise enchaîne les échecs dans le cadre des appels d’offres organisés pour de plus petits modèles. L’UEE Navy se sert bien d’un petit nombre de Constellations militarisées pour la reconnaissance, mais elle n’a jamais massivement adopté les vaisseaux de RSI.

Récemment, la compagnie a échoué à remporter un contrat de 1,7 billions de crédits pour la fourniture d’un chasseur de nouvelle génération, au profit du F8A proposé par Anvil Aerospace. Retournant le couteau dans la plaie, l’offre de RSI a été classée en troisième position, loin derrière le projet d’Aegis Dynamics, le Dogfighter 3000, que l’UEE Navy compte retenir après modifications. Le prototype de l’entreprise, surnommé Black Widow, a été jugé trop coûteux pour servir en première ligne, ce qui signifie qu’il ne sera probablement pas commercialisé sur le marché civil non plus.

 

(source: https://starcitizen.fandom.com/fr/wiki/Roberts_Space_Industries)

 

 

 

Informations diverses

Nous recherchons toujours des entreprises de minage et de salvage, les candidatures sont ouvertes

 

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